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PUBLIC MARKS from decembre with tags analyse & opac2.0

2011

BIB - Les opac – Ergonomie : 1, Bidouillabilité : Zéro « Bibliothèques [reloaded]

C’est la capacité d’un logiciel à être détourné. Un « bon » logiciel est un produit que ses utilisateurs peuvent appliquer à d’autres usages que ceux prévus par son concepteur. .... Bref, la bidouillabilité pour un opac, ce serait la possibilité de l’utiliser autrement que prévu par son concepteur. Par exemple : * l’utiliser comme base d’ouvrages et non comme outil de signalement de collections. Cela signifie que l’opac doit faciliter les rebonds vers d’autres plate-formes, la citation, la récupération de métadonnées, etc. * l’exploiter pour en extraire des statistiques diverses . * l’interroger autrement que par le formulaire de recherche... .... Les concepteurs de SIGB/Opac n’élaborent pas leurs bases de données comme le fait le reste du monde. Les éditeurs de SIGB sont scandaleusement hors des logiques d’Internet. On peut bien dire que les bibliothécaires sont à la traîne. ....

2010

BIB - OPAC 2.0 (Avis Critique) - Pourquoi les catalogues ne peuvent pas être 2.0. « Bertrand Calenge : carnet de notes

Plus j’y réfléchis et plus je trouve étrange – autant que logique – l’obstination des bibliothécaires à vouloir entrer dans la ‘modernité’ à travers leur outil fétiche, le catalogue. Eh bien non, je ne crois pas à la validité d’un catalogue 2.0, parce que je pense que le catalogue n’est pas adapté à cet environnement, et parce je ne pense pas que les utilisateurs du catalogue soient demandeurs d’un tel ‘réseautage social’ – au moins concernant le catalogue lui-même.Le catalogue n’est pas adapté au web 2.0 Je me défie du désir qui voudrait ramener l’internaute vers le catalogue comme cœur de l’activité des Bibliothèques… Mais, je le soutiens, pour l’immense majorité des bibliothèques, c’est dans le "présentiel" que le catalogue doit trouver son avenir. Et la dimension participative voire collaborative du concept 2.0, n’est-ce pas là qu’elle doit prioritairement s’y développer très concrètement ? N’hésitez pas à contester, amender, compléter, illustrer !…

BIB - Comparatif des webservices d’enrichissement d’OPAC : 1 an après (2010)

Presque jour pour jour, je vous propose un nouveau comparatif des webservices d’enrichissement d’OPAC : 1 an après. Je ne reviens pas sur les descriptifs et les présentations. 1eres conclusions * Forte hausse pour tout le monde : nous ne pouvons que nous en réjouir !!! :-) * Babelio a perdu son avance * Libfly a très bien regagné son terrain. * Les trois services sont dans des chiffres comparables * En termes de contenu d’internautes : Babélio est encore loin devant. L’offre s’est globalement améliorée : - Où trouver ses webservices en place : * Libraything for Libraries : BU angers * Libfly : BM Dole * Babelthèque : BM Tlse C’est très très décevant. En un an (mis à part le parc Archimède sans doute), aucune bibliothèque (à ma connaissance) n’a vraiment pris la vague et mis en place ses webservices.

2009

ISBN : si simple… et pourtant si compliqué - 6 commentaires - “ISBN-13 et "ISBN-10" avec ou sans tirets : On arrive donc à 4 ISBN “différents” à tester…

l’ISBN, a basculé vers l’ISBN-13 officiellement au 1er janvier 2007.Maintenant, les ouvrages ont donc un “ISBN-13″, d’ailleurs pour le moment “traduisible” en ISBN-10 tant que l’on reste dans le bloc préfixe 978. Mais la question est maintenant : quelle version de l’ISBN d’un ouvrage faut-il utiliser pour un interroger un OPAC ? Et l’on imagine déjà le problème avec des OPAC ne permettant de faire une recherche que sur un seul ISBN à la fois…En effet, pour certains d’entre eux, une recherche d’un ISBN avec ou sans tirets est différente (ex: Koha). On arrive donc à 4 ISBN “différents” à tester… Bref, les OPAC, c’est pas tous les jours la joie6 commentaires

Babelthèque - Présentation et Tarification - Bibliothèque publique d'information (BPI) - Documentation Outils professionnels

Enrichissement des notices d’OPAC en contenu communautaire (critiques, citations, tags, notes) Description Babelthèque permet aux bibliothèques d’enrichir leurs OPAC et leurs sites Internet en important le contenu produit par les membres de la communauté de lecteurs Babelio.com : critiques, citations, nuages de tags etc.. Babelthèque permet également aux usagers de la bibliothèque de saisir des critiques et citations dans l’OPAC, qui sont partagées avec l’ensemble des bibliothèques partenaires.

SIGB Open source : une bonne étude et surtout une liste qui n’en finit pas de s’allonger - Des Biliothèques 2.0 (Blog)

J’ai jeté un oeil sur ce mémoire. Pas grand chose de neuf, mais une bonne étude et surtout une liste qui n’en finit pas de s’allonger : Les SIGB open source listés sont : 1. Avanti MicroLCS 2. Emilda 3. Evergreen 4. Gnuteca 5. Koha 6. OPALS – Open-source Automated Library System 7. OpenBiblio et / ou oBiblio 8. PMB 9. PhpMyLibrary 10. WEBLIS, gratuit et presque Open Source

Que font les usagers sur les OPAC ?.Ils cherchent, bien sûr....Des Bibliotheque2.0 (Blog)

Ils cherchent, bien sûr. 90% des pages visitées tiennent sur une main : 1. page d’accueil 2. page de recherche simple 3. page d’affichage des résultats 4. page d’affichage de la notice 5. Page d’affichage d’erreur (pas de résultat) 6. page de fin de session De Chez eux : Remarques 1. De toutes les types de “Recherches avancées”, seule la recherche multicritères est vraiment employée (oubliez le “par cote” ou “parcourir les index”) 2. Le Portail le plus employé est le portail “enfants” 3. Les “dernières acquisitions”, c’est une seule page qui renvoie vers les nouveautés. 4. Les bibliographies thématiques renvoient vers autant de pages que de thèmes. Ce qui marche le mieux : les prix littéraires.

Electre (ne se prête absolument pas à des détournements intelligents) ou le mythe d’un Narcisse ouroboros « Encore un biblioblog…

Electre n’est pas un “mauvais site” (he’s not the bad guy). Mais les fonctionnalités présentes, tout autant que les fonctionnalités absentes, induisent de la part de ses utilisateurs un certain comportement pour l’exploiter au mieux. Il ne se prête absolument pas à des détournements intelligents (tels que décrits ici, notamment) Autrement dit, c’est un bon outil, mais il n’entre pas dans la logique web à laquelle nous nous habituons un peu plus chaque jour. Je parlerai une prochaine fois des trucs intéressants (paramétrages, personnalisation surtout) dans Electre.

2008

Bibliobsession 2.0 » Réinventer les services en ligne de bibliothèques, par Lionel Dujol

L’ami Lionel a publié une conséquente présentation à l’occasion d’un prochain stage à l’ENSSIB. Je ne peux que vous recommander de la consulter !