public marks

PUBLIC MARKS from decembre with tags analyse & livre

2018

BIB - ONLINE TOOL - SEARCH - Google N-gram Viewer - Culturomics

The Google Labs N-gram Viewer is the first tool of its kind, capable of precisely and rapidly quantifying cultural trends based on massive quantities of data. It is a gateway to culturomics! The browser is designed to enable you to examine the frequency of words (banana) or phrases ('United States of America') in books over time. You'll be searching through over 5.2 million books: ~4% of all books ever published! There are lots of different things you can check, like your favorite word (Supercalifragilisticexpialidocious) or person (President Taft; Chief Justice Taft) or part of the holiday (Christmas Tree).

2011

BIB - Renseigner sur la fiction : catalogues et bibliographies | Lirographe

Ces dernières semaines, je collectionne les questions de lecteurs en fiction : « Vous avez des contes sur la cuisine? », « Des romans qui parlent d’épices ? ». Importance de l’expérience acquise au quotidien par l’entretien des collections, l’habitude de renseigner et le rangement : rien ne remplace alors la culture personnelle. Je me suis toutefois demandé (ainsi qu’à quelques collègues qui passaient par là) quels outils pouvaient palier les bien naturelles lacunes de chacun dans les différents domaines de la fiction. Or, comme le soulignait récemment Vingt-sept point sept, s’il existe une zone aveugle, un angle mort du catalogage, c’est bien l’indexation de la fiction, absente des deux plus grands catalogues français (BnF et Sudoc) et de la base bibliographique Electre : on en revient, dans les trois cas, à une interrogation globale ramenant plus ou moins de bruit. ...... Analyse des outil dispos très claire.

BIB - "Sens Critique" média social autour des oeuvres: Bibliothécaires, exercez votre Sens critique ! - BibliObsession

Je vous recommande chaudement Sens Critique. Ce média social autour des oeuvres est très bien fait et vient s’ajouter aux médias sociaux sur les livres. Non il n’y a pas que Babelio et Librarything, maintenant il y a aussi Sens critique et c’est ouvert aux livres, mais aussi, aux films, aux séries et aux jeux vidéos (bientôt la musique)! On est pas dans les créatives commons, mais les conditions générales d’utilsation sont tout à fait respectueuses des droits des membres . Voilà un média social exemplaire par sa simplicité d’usage, son ergonomie et son positionnement (Magnifique réseau donc, mais les seuls bibliothécaires que j’y croise sont des biblioblogueurs. Définissez votre identité numérique et allez mettre vos critiques sur Sens critique en mettant un lien vers vos blogs/sites de bibliothèques.

2010

BIB - Portrait du pirate en conservateur de bibliothèque - Joël Faucilhon - Contre-feux, revue littéraire de Lekti-ecriture.com

Le titre de ce billet peut paraître provocateur. Il l’est certainement en partie, mais il correspond à une réalité dont on parle peu, une réalité qui émerge encore à peine, mais dont les conséquences paraissent immenses, du point de vue du droit d’auteur, de l’économie de l’ensemble de la chaîne du livre, et des problèmes de conservation et du partage du savoir à l’ère du support numérique.Pire encore, le fondateur des éditions O’Reilly, le très respecté Tim O’Reilly, inventeur de la célèbre formule « Web 2.0 », affirme depuis quatre ans que la piraterie, en ce qui concerne ses livres, n’est pas un problème, et parfois même représente un vecteur de vente de livres physiques (voir le lien suivant, un article qui a fait sensation au moment de sa parution

BIB - Ebookz ? l’année zéro du piratage de livres : Résultat de la recherche - Le Motif

Mathias Daval 10 septembre , 2010 En effet, je vous invite a consulter l’etude Ebookz que j’ai realisee pour le compte du MOTif et qui a ete publiee en octobre 2009. Elle dresse un panorama detaille du piratage du livre. Dans le cadre d’un observatoire du livre numerique du MOTif, d’autres etudes viennent la completer en etudiant spécifiquement l’offre vs demande, les usages, les profils des pirates, etc.

2009

Hathi Trust , Alternative à Google Books ? - (N’est pas encore, faute d’interface (à venir), une bibliothèque numérique, c’est d’abord un réservoir (depository) de données) - l’éléphant Google Books apprivoisé? (complément) - 2008

Olivier Ertzscheid fait un examen de l’Hathi Trust beaucoup plus complet, qui est bien plutôt (au moins dans le court/moyen terme) un complément (et une appropriation) de Google Book . - Une dernière chose qui me ravit à propos de l’Hathi Trust, c’est l’ordre des priorités (un ordre pour lequel j’ai plaidé à droite (ABF 2006) et à gauche (BMVR 2007): Hathi Trust n’est pas encore, faute d’interface (à venir), une bibliothèque numérique, c’est d’abord un réservoir (depository) de données. Dans l’ordre des priorités l’interface vient en dernier, après 1. la préservation et 2. l’équipement en métadonnées.

Après la presse, c’est l’édition qui meurt : La profession doit se réinventer.(Le Peuple Des Connecteurs - Blog)

Si les journalistes ont maintenant compris qu’Internet remettait en cause leur métier, les éditeurs vivent avec la douce illusion que tout sera comme avant. Pourtant internet se prépare à décimer leur industrie. Que font les éditeurs ? Pas ce que vous croyez. Ils impriment des livres, qu’ils transportent en camion d’un bout à l’autre du pays, les stockent dans des librairies, puis rapatrient les invendus qui, après une seconde période indéfinie de stockage, finissent pilonnés. C’est le destin de la plupart des livres. Une gabegie irrespectueuse de l’environnement. La profession doit se réinventer.

Gutenberg, ce criminel (La bataille du livre électronique est lancée) - Blogo Numericus

La bataille du livre électronique est lancée, et elle prend des allures de plus en plus industrielles.monopole à tous les étages, formats propriétaires, goulets d’étranglements incontournables avec péages et octrois, police de la pensée, création artificielle de rareté, vente donnant droit à des usages restrictifs et provisoires, privatisation du patrimoine culturel de l’humanité. Le livre n’est qu’un secteur de la grande bataille engagée, à laquelle il pensait pouvoir échapper. Désormais, le terrain de jeu touche l’ensemble de la culture, et même un peu au-delà.Le monopolivre n’est pas une fatalité.C’est tout l’enjeu de la contribution créative et des règles qui la réguleront. Et si nous accompagnions le changement, pour forger le futur de la culture, pour inventer l’avenir de la lecture et gagner ensemble la bataille de l’intelligence ? L’actualité récente sur le sujet

Open Publication Distribution System (OPDS), une technologie qui répond à un enjeu de société - Le Cléo (Centre pour l’édition électronique ouverte)

L’enjeu le plus important, aujourd’hui, est de permettre l’épanouissement d’un grand nombre d’entrepôts de livres électroniques et d’un grand nombre de libraires électroniques (cf :"Gutenberg, ce criminel " et dans "Et si Itunes avalait tous vos livres?" . L’enjeu est économique. Il est culturel. Il est politique. C’est un enjeu de société qui ne doit pas être réduit à une question technologique. Souhaitons-nous confier le contrôle de la diffusion des livres électroniques à 5 ou 10 acteurs majeurs dans le monde (au hasard : Apple, Amazon, Google) ou souhaitons-nous permettre la naissance de multiples canaux d’émission de livres et de multiples canaux de distributions de livres? .

Le Cléo (Centre pour l’édition électronique ouverte, avec de nombreux podcasts de cours et conférences ) - The open electronic publishing blog

L’édition n’a pas attendu Internet pour passer au numérique. Cependant, la fameuse “convergence numérique”, qui a fait les beaux jours de la bulle Internet dont Vivendi Universal fut l’incarnation française, continue à être dans les esprits.Quels types de bonnes pratiques faut-il mettre en œuvre? Existe-t-il un équivalent d’Opquast pour l’édition électronique? Quels environnements technologiques pour quels standards ouverts et libres ?

2008

Google Books passe la démultipliée___Affordance.info:

Google Books continue d'avancer et de se positionner comme un service incontournable : après avoir gagné la bataille de la vitesse de numérisation (même si la qualité n'est pas toujours au rendez-vous), après avoir gagné la bataille de la quantité (même s'il est très difficile d'obtenir des chiffres fiables), il s'intéresse aux fonctionnalités sociales gravitant autour du livre, en lançant "MyLibrary", un service de partage et d'annotation de listes de livres qui empiète clairement sur les plates-bandes d'Amazon et de LibraryThing, en permettant de tagguer les livres choisis et d'en faire la critique (book review).