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PUBLIC MARKS from decembre with tags usager & bibliobsession

2011

BIB - Ressources Numériques : des trésors derrière des forteresses - BibliObsession

Acheter pour d’autres des accès rares pour des contenus “naturellement” cachés derrière des murs payants, qu’on s’épuise ensuite à valoriser. .... Le meilleur moyen de “valoriser” (faire connaître) des contenus : Accès Libre quitte à vendre des services ensuite (= Freemium). ..Si contraire , difficulté d’accès à un monde clos, hétérogène, exclusif... et sélectionnés par un bibliothécaire inconnu… ...Tropisme de profession :la constitution de collections dans l’univers numérique...( le bibliothécaire est celui qui “donne accès” à des bases comme on achète un livre... ) Et nous acceptons des restrictions d’usages insupportables... ! L’enjeu : Elaborer avec eux des offres dans lesquelles l’usager final est respecté, où les bibliothécaires trouvent leur place et ...viable. C’est possible : ... ...N’est-il pas temps de se regrouper et de proposer une charte de l’usager des ressources numérique en bibliothèque ?

BIB - Témoignage : la Médiathèque de Bagnolet (page + profil FaceBook) « Livre-arbitre

La médiathèque de Bagnolet a ouvert une page, en plus de son profil. J La médiathèque a eu le parcours de beaucoup de bibliothèques sur Facebook : hésitation entre deux types de comptes (page ou profil). Cela s’est traduit par un parcours assez atypique. ... le profil a continué à être alimenté et à gagner en amis (plus de 2500 aujourd’hui !). La médiathèque dénombre entre 20 et 30 demandes d’amis supplémentaires chaque semaine, sans qu’aucune publicité particulière n’ait été faite. Que publier ? Un retour de trafic sur le site ? Gérer le mur Des formations Facebook pour les usagers ? ... Si nos pages Fb ne sont pas utilisées comme on le souhaite c’est peut-être parce qu’elles ne sont pas intéressante ou pas bien positionnées… À la Bpi on a une page institutionnelle et on va lancer des services et des identités numériques dans les prochains mois.

BIB - N’oublions pas les fondamentaux, Pierre aka Reup : Le vrai scandale des bibliothèques en France, c’est bien les Horaires d’ouverture... - BibliObsession

Faudrait voir à pas oublier les fondamentaux... Pour que les lecteurs viennent à la bibliothèque, il faut : # Qu’elle soit ouverte : Pas la peine de tergiverser, les horaires d’ouverture jouent très nettement sur l’attractivité des bibliothèques. Je sais que ça n’est pas très populaire, mais je n’ai pas inventé les remarques des lecteurs quant aux horaires trop restreintes. La suite sur son blog ! Il est clair que la médiation numérique, je le rappelle à chaque fois que c’est possible, est l’un des volets d’un projet de service plus global. On pourra faire des tonnes de journées d’études sur le troisième lieu, le vrai scandale des bibliothèques en France, c’est bien les Horaires d’ouverture. Il n’y a pas que des actifs, des gens qui travaillent, il y a les étudiants, il y a les retraités, il y a les chômeurs, même les mères au foyer ! Eh ben, je trouve que la bibliothèque ça pourrait être un bon lieu d’échanges, de rencontres, d’ateliers...

BIB - Contenus numériques : parier sur la médiation et les services 6/7 - BibliObsession

Les bibliothèques ne seront perçues comme des intermédiaires utiles que si elles combinent une valeur ajoutée en terme de médiation, de services, voire de contenus exclusifs par rapport à une offre commerciale grand public. Comment cela peut-il se traduire dans un modèle d’affaire ? .... L’exemple illustre que la médiation numérique peut en soi-même constituer une valeur ajoutée monétisable auprès d’un fournisseur de contenus. Plutôt que de vendre des contenus à l’acte, on propose aux usagers un accès illimité et on vend aux bibliothèques des services leur permettant de mettre en œuvre une médiation numérique efficace. .... On le voit le modèle mise sur l’idée que notre valeur ajoutée soit la diffusion et pas l’exclusivité des contenus, mais celle des services. Voilà une piste intéressante non ?...

2010

BIB - Mieux que la photocopieuse : le scanner dans la bibliothèque (Bookeye scanner KIC2) - Bibliobsession

Un outil qui me semble très intéressant à intégrer dans nos bibliothèques pour un usage public : un scanner!. Le Bookeye scanner KIC2 comporte un écran tactile permettant de s’envoyer des données scannées par mail, les télécharger sur une clé USB ou encore se les envoyer par ftp. En ces temps d’Hadopi (j’y reviendrai très bientôt), on ne manquera pas de rappeler que jusqu’à nouvel ordre, l’exception au droit d’auteur qui s’appelle “copie privée” existe toujours… Nous n’avons donc pas à interdire aux usagers de copier ce qu’il veulent dans nos bibliothèques. L’acte reste légal du moment que l’usager conserve le document pour un usage privé, mais ça ne concerne plus la bibliothèque qui est la simple origine de la copie : *En contrepartie, une partie du prix d’achat de certains consommables et appareils multimédia, est prélevée sous forme de redevance pour la rémunération de la copie privée.

BIB - Bibliobsession » Rapport : "Learning Center (Les) : un modèle international de bibliothèque intégrée à l’enseignement et à la recherche" (12.2009) par Suzanne JOUGUELET - Les Learning center sont des… bibliothèques universitaires moderne

Quelques éléments intéressants (notamment les exemples) dans ce rapport . Il y est fait le point sur les Learning center, cette tentative de renouveler le modèle de la bibliothèque à l’instar des idea store. Ce rapport est peu être décevant en certains points, mais aborde un point crucial : nous ne (pouvons) devons plus nous contenter d’exister aux yeux des usagers comme La “BU” à côté du service “TICE” à côté de “La direction des études” à côté du “Service Systèmes d’Information-ENT”,… . Il est devenu indispensable d’avoir une approche intégrative des services, et que cette dernière se traduise avant tout politiquement (j’ai envie de dire “marketingement”, d’où peut être le fait que ce terme de “learning center” me plaise; mea culpa…).

2009

Bibliobsession 2.0 » Le e-Scan, scanner grand public pour les bibliothèques

Il s’agit de proposer aux usagers des machines permettant de scanner puis de s’envoyer des documents par mail, les télécharger sur une clé USB ou encore se les envoyer par ftp. En France, L’entreprise i2s, où travaille un des meilleurs spécialistes de l’édition numérique, j’ai nommé Alain Pierrot (qu’on supplie tous de réouvrir un blog, après la fermeture d’APSED) propose aujourd’hui le e-scan (sorti en février 2009) : Première station de numérisation compacte et autonome destinée à un usage du libre service, parfaitement adaptée aux besoins grand public, Bibliothèques. Doté d’une interface graphique particulièrement intuitive et conviviale, il regroupe sur un écran tactile 15″ toutes ses commandes, la prévisualisation en temps réel et l'affichage des scans effectués. Il permet ainsi d'obtenir instantanément l’accès aux services « scan to web », « scan to USB », « scan to network », « scan to print », de livres ou documents reliés (épaisseur 10 cm maximum, jusquau format A3++).

Bibliobsession 2.0 » Pourquoi ne pas proposer Firefox sur les postes publics des bibliothèques ?

sous le terme sécurisé, se cache en fait un certain nombre de limitations de l’usage, destiné à empêcher tout paramétrage du navigateur par les usagers Logique et nécessaire quand on connaît le nombre de personnes qui se connectent chaque jour. En revanche, on aborde jamais l’outil navigateur sous un autre angle : celui de la mise en valeur des services et des accès à la bibliothèque : une page web avec un ISBN, celui-ci est reconnu et un lien apparaît pour m’indiquer si le livre correspondant est disponible ou non dans la bibliothèque où je me trouve , documentaires que l’on propose DANS la bibliothèque Le problème, c’est que, bien sûr, ces navigateurs sécurisés fournis par les prestataires sont propriétaires et que leur paramétrage est le plus souvent très limité. Or les outils de de dissémination des accès sont en grande majorité développés sous Firefox…