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PUBLIC MARKS from decembre with tags opac2.0 & ressource

July 2011

BIB - SIGB - Ophée - DOCUMENTATION oficielle - - Les métadonnées

L'utilisation des métadonnées c'est à dire "des données servant à décrire d’autres données" se développe de plus en plus avec internet. Elles constituent une alternative moins stricte au catalogage traditionnel, tout en remplissant les mêmes objectifs. La sélection qui suit vous permettra d'avoir un aperçu des principaux formats de métadonnées utilisés dans les bibliothèques et d'en comprendre les enjeux. 1 - XML pour les bibliothécaires 2 - Les métadonnées 3 - Guide d'utilisation sur le Dublin Core 4 - Document Type Definition (DTD) 5 - Description archivistique encodée (EAD) 6 - MAchine-Readable Cataloging (MARC) 7 - Le protocole OAI et ses usages en bibliothèque

March 2011

BIB - 114 billets sont parus sur ce blog en 2010 - Pour 2011, une seule résolution« Bibliothèques [reloaded]

Ceux qui, de mon cru, m’apparaissent comme les plus importants... * Faut-il qu’une bibliothèque soit ouverte ou bleue ? * Les opac – Ergonomie : 1, Bidouillabilité : 0 * URL avec identifiant de session : brèves explications * Les offres d’emplois : parce qu’on a toujours mieux à faire * Export Unimarc XML avec Zotero * AtoZ – Quelques choix simples * Vous faites quoi pour l’environnement aujourd’hui ? * Le catalogue dans son labyrinthe * Bloguer, c’est écrire pour ne pas être lu * Décentralisation et autodidactisme comme principes pédagogiques en informatique * Le bouillon des bibliobsédés * En bibliothèque, il faut apprendre à faire du social * Le web des données * Et (pas) moi, et (pas) moi, et (pas) moi ? * 10 Bidouilla- et interopéra-bilité des opac – carte heuristique * Toi aussi, joue avec une ontologie * Date de retour d’un prêt – Ajouter à mon agenda

October 2009

Le lien facile (OpenURL) : Une petite série sur notre résolveur de lien, avec l’idée de donner à voir comment nous l’utilisons très concètement en backoffice : Face Ecran

Il s’agit de mettre en rapport des bases bibliographiques avec des documents plein texte (dans l’idéal). C’est à cela que sert SFX. Mais pour faire cela, le résolveur a besoin de savoir à quoi exactement la bibliothèque est abonnée (ben oui, SFX ne peut pas le deviner, faut pas rêver…) Le noyau dur des coulisses de SFX, c’est donc cela : la KB (pour Knowledge Base) dans laquelle nous indiquons : * les sources bibliographiques (sources dans le vocabulaire SFX) auxquelles nous souscrivons (exemple : Scopus ou WOS) * les cibles (SFX parle de targets) que nous “possédons” (exemple : ScienceDirect) ou visons * les revues (portfolios pour SFX) que contiennent ces cibles (exemple : Artificial Intelligence) * les éléments (SFX parle de services) accessibles pour chaque target (exemple : le plein texte ; la table des matières ; le résumé).... Voilà, le vocabulaire SFX est défini