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PUBLIC MARKS from decembre with tags projet & lien

2017

Europe vient-elle de tuer Internet ? - Sept 2016 - DP Blog - Le blog officiel de DPStream.net

(via)
Petit rappel de l’affaire: La CJUE devait statuer dans l’affaire GS Media BV où l’éditeur du très populaire site néerlandais Geenstijl.nl avait publié des liens hypertextes menant à des photographies inédites hébergées sur des plateformes comme FileFactory ou ImageShack (publiées sans le consentement de la personne concernée). Ces photos de la présentatrice Britt Dekker – nue – étaient originairement destinées à être publiées en exclusivité sur le magazine Playboy, et n’auraient donc pas dû être diffusées sur Internet. Peu importe en réalité la nature des faits, il était surtout demandé à la CJUE de répondre à cette question : le fait de publier un lien renvoyant vers un contenu illicite est lui-même constitutif de contrefaçon ? Ce que dit la décision: Si l’avocat général de la Cour avait répondu à la négative à cette question dans ses conclusions, la CJUE s’est quant à elle montré plus restrictive. En effet, elle a estimé que le placement d’un hyperlien sur un site Internet vers des œuvres protégées par le droit d’auteur et publiées sans l’autorisation de l’auteur sur un autre site Internet ne constitue pas une « communication au public » lorsque la personne qui place ce lien agit sans but lucratif et sans connaître l’illégalité de la publication de ces œuvres. En revanche, si ces hyperliens sont fournis dans un but lucratif, la connaissance du caractère illégal de la publication sur l’autre site Internet doit être présumée. En bref, il n’est pas interdit de placer un hyperlien sur un site internet vers une œuvre protégée sans l’autorisation de l’auteur, sauf si : – la personne a connaissance du caractère litigieux du lien ; – le lien est fourni à but lucratif. Et la sanction peut-être redoutable puisque « les titulaires du droit d’auteur peuvent agir non seulement contre la publication initiale de leur œuvre sur un site Internet, mais également contre toute personne plaçant à des fins lucratives un lien hypertexte vers l’œuvre illégalement publiée sur ce site ainsi que, dans les conditions exposées (…), contre des personnes ayant placé de tels liens sans poursuivre des fins lucratives », précise la CJUE. Cette décision tombe quelques jours (pur hasard ?) après l’annonce de la quasi-certitude maintenant que la Directive européenne sur le Copyright mettra à mal le statut des intermédiaires (voir projet de la Directive).

2013

BIB - ABES : Hub de métadonnées – Projet d'établissement (2012-2015)

Contribuer à cet effort international de libération des métadonnées bibliographiques et associée. Dans ce cadre, l’ABES offrira le service suivant à tous les établissements: redistribution dans n’importe quel format des métadonnées enrichies récupérées dans n’importe quel format auprès des éditeurs. (plus-value aux métadonnées par structuration, richesse et interconnexion de l’information avec d’autres bases. Les enjeux: - La documentation électronique est différente du catalogage partagé traditionnel (masses et flux de documents trop importants Donc réutiliser les métadonnées des éditeurs (souvent inexactes, pauvres et mal structurée). •La qualité des métadonnées étant un facteur décisif pour la recherche et l'identification des documents mais également pour garantir l'accès à ces documents, notamment via les résolveurs de lien. •Les catalogues de bibliothèque ne sont plus les outils privilégiés des lecteurs. Les métadonnées qui passent par l'ABES et ses réseaux doivent être redistribuées le plus largement possible, y compris en direction des outils de découverte ou des résolveurs de lien commerciaux. Sur ce marché, où les clients sont les bibliothèques, la concurrence doit se faire sur les services et les fonctionnalités, et pas sur les données. Ces données doivent être libres et réutilisables, intégrées au web de données.

2010

BIB - Le minimum pour un Opac (en plus de tout ce qui est évident) : ..... Ce n’est même pas la peine de justifier !

1. L’URL est significative (http://catalogue.bibliotheque.fr/.0.. 2. L’URL différentes pour : accueil, liste de résultats, notice détaillée. 3. L’URL contient tous les paramètres de la recherche (mots recherchés, champs interrogés, filtres effectués après affichage de tous les résultats) 4. La page comporte un titre 5. Le titre et ne s’appelle pas toujours « Catalogue de la bibliothèque ») 6. Le titre récupère les métadonnées du document si je suis sur une notice détaillée 7. Le titre n’est pas le nom du logiciel. 8. Couleur du titre change pour m’éviter de cliquer deux fois sur le même 9. La notice détaillée avec Permaliene. 10. Une recherche rapide est possible à tout moment où que je me trouve (encart isolé en haut à droite ou à gauche, ou carrément barre de recherche latéral ou supérieure). 11. La recherche dans le catalogue n’est pas dans un frame HTML (ce qui bousille les exigences sur le titre et l’URL). A lire la suite....

BIB - Ajouter des COinS dans le SIGB Primo et résolveur OpenURL : l’OpenURL est fait pour permettre d’accéder rapidement à une ressource rencontrée quelque part sur Internet

Principalement, l’OpenURL est fait pour permettre d’accéder rapidement à une ressource rencontrée quelque part sur Internet : un lien OpenURL tient compte du résolveur auquel vous êtes (institutionnellement) rattaché et vous propose * un lien vers l’article en ligne, s’il s’agit d’une ressource en ligne * un lien vers la notice dans le catalogue de votre bibliothèque, s’il s’agit d’un document papier. Pourquoi ? D’abord pour le principe. A partir du moment où nous mettons en ligne des métadonnées, il est normal de les fournir dans un format à peu près standard, permettant de les réexploiter. Et ceci indépendamment des usages que, moi-même, je pourrais imaginer : Donc si une bibliothèque de médecine dispose d’un résolveur OpenURL, elle peut indiquer notre catalogue à ses étudiants : ils font une recherche et rebondissent ensuite vers leur propre BU, grâce au plugin LibX que celle-ci aura pris soin de leur proposer.