PUBLIC MARKS with tags essay & politique

Monsieur le magistrat, je vous demande des excuses. M. le magistrat, Je suis profondément blessé par vos propos. J'habite le 9-3, dans une très grosse verrue, immonde, parmi celles qui "parsèment le paysage suburbain de notre belle France" comme vous dîtes. Désolé ... M. le magistrat, pensez-vous réellement, que nous ne soyons pas capables de lire la presse? Croyez-vous sincèrement que "ces lignes n’ont heureusement aucune chance d’être lues dans le 9-3"? L'école française, M. le magistrat, nous a donné les armes pour comprendre votre plume. Soyez-en sûr, mes yeux sont comme les vôtres. Ils n'ont besoin d'aucun décodeur, rien n'est plus crypté pour nous que pour vous.

«Je suis né en France, j’ai toujours vécu en France, je suis de culture et de nationalité française, pourquoi on me virerait ?» Cette question, Richard Ying, étudiant en deuxième année de DUT information-communication à l’Institut universitaire de technologie de l’université Paris-V, y a été brutalement confronté le jour du deuxième tour de l’élection présidentielle. Il circulait à vélo entre le QG de Nicolas Sarkozy, dans le Xe arrondissement de Paris, et le siège du PS, dans le VIe. Une vieille dame lui a crié : «Sarko vous virera tous !» L’interpellation ne l’a pas fait rire : «En apprenant le soir que Sarkozy était élu, ça m’a foutu les boules.»

Pourquoi toute critique construite et réfléchie de la société libéraliste, est-elle assimilée à de la conspiration, de la paranoïa ou plus généralement aller à l'encontre du cours naturel de l'Histoire ?

Coupée du terrain, sans base sociale réelle, politiquement opportuniste mais "bon client" médiatique, l’association présidée par Fadela Amara a gagné sa reconnaissance institutionnelle en produisant un discours stigmatisant des banlieues et de leurs habitants. par Stéphanie Marteau et Pascale Tournier.

Socialisme et collectivisation : sur quelques paradoxes et ambiguïtés de la critique marxienne de la « propriété bourgeoise »

He explains the economic reality and moral justification for free software, and its role in the struggle for human freedom historically and in society at large.

Eben Moglen is professor of law at Columbia University Law School. He serves without fee as General Counsel of the Free Software Foundation. You can read more of his writing at moglen.law.columbia.edu. These remarks were the keynote address at the University of Maine Law School's Fourth Annual Technology and Law Conference, Portland, Maine, June 29, 2003.

Un spectre hante le capitalisme international - le spectre de la libre information. Toutes les puissances de la "globalisation" ont conclu une alliance bien peu sacrée afin de l'exorciser : Microsoft et Disney, l'Organisation Mondiale du Commerce, le Congrès des Etats-Unis et la Commission Européenne.

The simple question “what’s wrong with software patents?” stirs up controversy and divides the IT industry into two camps like no other. Every group has their own ideology about software patents. Those who don’t like them claim that they are anti-competitive, that they are tools used by industry giants to crush free and open software, that they are bad for innovation, that they are monopolies, etc. Those who like them claim that they are simply units of intellectual property, to be traded like any other commodity.

The purpose of Michael Harrington’s essay is to document and interpret the democratic foundations of Marxism through three different ways: first, reviewing Marx’s analyses of democracy and his political conclusions; second, dealing with Marx’s theory of democracy and capitalism; and finally, discussing bureaucratic collectivism in the [former] Soviet Union and the role of democracy in collectivized societies.